La gare comme signe monumental d’une ville thermale accueillant des familles connues et comme édifice rassurant pour ces dernières car combinant des signes architecturaux classiques, régionaux et modernes.
Une reconversion/extension respectant l’intégrité de l’édifice d’origine, évitant le pastiche et s’implantant à l’arrière de la gare pour préserver la perspective de sa façade principale.
Deux interventions harmonieuses par l’unicité du matériau (verre), la teinte (vert foncé), la transparence, la simplicité des formes qui établissent une relation plaisante entre une masse (la gare) et un vide (la vallée).
Architectes : Louis Brachet (1931) et Nicolas C. Guillot (2009)
Maîtres d’ouvrage : Compagnie du chemin de fer Paris-Orléans (1931) et Ville de Néris-les-Bains (2009)